La tencho.

 

 

 

 René Astier teint son filet dans un bigoua provisoire. La Partègue demande, sans résultat, depuis des années que l'on nous donne l'autorisation de reconstruire le chaudron à teinture.

 Travail éprouvant sous la chaleur. Les pêcheurs se groupaient pour réaliser cette opération indispensable. La teinture retardait le pourrissement des fibres de coton constamment humides.

 René refait les gestes des milliers de fois répétés dans sa vie de pêcheur.

 

 

 Séchage des voiles. La teinture n'est pas fixée par un agent chimique. Elle disparaît lentement et il faut renouveler l'opération toutes les deux ou trois semaines..

Le havre de la Madrague le jour de la Tencho. Les membres de la Partègue aident René au bon déroulement de cette reconstitution très authentique.

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