Carénages du 9 mars au 23 mars Le Raïs de Mandrago refait à neuf. On a tellement travaillé qu'on n'a pas fait de photos.
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Carénages du 9 mars au 23 mars Le Raïs va retourner à l'eau.
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Carénages du 9 mars au 23 mars Ca y est ! Un équipage le ramène à son poste mais les carénages ne sont pas terminés.
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Carénages du 9 mars au 23 mars Avant même que le Raïs touche l'eau, le Liberté se prépare pour être gruté. |
Carénages du 9 mars au 23 mars Le Liberté dans les airs. On découvre le travail que nous allons devoir faire. |
Carénages du 9 mars au 23 mars Le Liberté est convoyé vers l'aire de lavage. Il va falloir gratter la coque qui en a bien besoin. |
Carénages du 9 mars au 23 mars Nous sommes nombreux pour effectuer cette phase du carénage. Tant mieux car tout se fait à la main et c'est épuisant. |
Carénages du 9 mars au 23 mars Le Liberté est propre, prêt pour la suite. On discute des travaux à effectuer pour préparer le chantier et répartir les tâches. |
Carénages du 9 mars au 23 mars Quelques jours plus tard, après avoir été revissée par endroit, après avoir refait quelques pièces de bois, la coque reçoit sa couche de primaire. Le pavois et les cordons sont déjà peints.
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Carénages du 9 mars au 23 mars Encore quelques jours de travail et le Liberté brille sous le soleil. Bravo à tous ceux qui ont travaillé 15 jours sans relâche pour que ces magnifiques bateaux continuent à naviguer. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau D'avril à fin juin. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau
Bref il fallait que ce soit, en plus d'une oeuvre d'art un engin qui puisse naviguer, une embarcation pouvant supporter un équipage et pouvant se déplacer à la force des bras. Le jour de la mise à l'eau nous étions tous un peu tendus. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau Les essais dans le canal, à l'intérieur du salin ont été concluants. Sara et ses castors ont super bien travaillé et les quelques conseils donnés par la Partègue ont participé à la réussite de la première partie du projet : l'oeuvre d'art est magnifique , elle flotte et elle est suffisamment stable pour accueillir un équipage. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau Les castors s'amusent dans l'eau, comme des... castors ! Ils parcourent le canal sur toute la longueur et ce n'est pas le pont hyper-bas qui les arrête. Les 3 castors se couchent, se protègent la tête et le rameur propulse la pirogue sous le pont. Ils sortiront tous intacts de cette épreuve. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau Ce n'est pas tout, nous sommes en avril et la pirogue doit passer sur Porquerolles fin juin. La Partègue conseille de couler l'embarcation pour éviter que le tronc se fende. La pirogue est amarrée en bordure du canal et elle est remplie d'eau salée. Marc la surveillera et fera le niveau si l'eau s'évapore trop. |
La mise à l'eau a attiré pas mal de curieux et les pêcheurs. Beaucoup étaient perplexes mais la pirogue a retrouvé son balancier et elle a flotté sans problème dans la mer. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau La CCIV nous a très gentiment autorisés à amarrer l'embarcation sur la plage pour la nuit. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau La Partègue est bien sûr sur le coup. Nous avons prévu le départ très tôt, à 6h du matin. La pirogue a quitté le port à 6h30. C'est le Raïs qui a l'honneur de tracter avec Michel à la barre. Il a l'habitude des convois spéciaux, il a travaiilé sur les porte-containers ! |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau Une fois en mer, au large de Ribaud, on largue la pirogue qui, poursuit sa route. L'équipage est 100% féminin et très efficace. Les deux navigatrices se sont engagées sans avoir vu la pirogue avant. Elles ne sont pas déçues même si l'embarcation est un peu lourde à manoeuvrer. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau Quelques minutes plus tard, non j'exagère, 2 heures plus tard, l'équipage longe Porquerolles sans faiblir. La journée est parfaite : mer belle, peu de vent. |
La pirogue : collaboration avec Sara Favriau Le Raîs débarque ses invités : Marc, Sara et des membres de la Fondation Carmignac, sur un pneumatique pendant que la pirogue file vers la plage d'où elle sera hissée à la force des bras sur une remorque pour être exposée dans les jardins de la Fondation. Une collaboration très sympathique. Merci à Marc qui a pensé à nous et merci à Sara et à son équipe. Un travail de très grande qualité et un concept qui a du sens pour les membres de la Partègue. En souhaitant que tous les visiteurs de la Fondation puissent saisir la richesse de ce message artistique. |
La pêche 2021 Cet été Pépito fait lui aussi de l'art. Il a pêché un arbre fleuri de plastique et de masques anti-Covid. C'est aussi un message très important. Ca se passe de commentaires. |
Carénage de l'Etoile du Matin : juillet 2021 Nous sommes déjà au mois de juillet et les carénages ne sont pas finis. Il reste l'Etoile du Matin. Elle sera grutée au Niel et carénée dans le jardin de Patrice. |
Carénage de l'Etoile du Matin : juillet 2021 Comme pour les autres bateaux, la coque est inspectée, puis nettoyée et les travaux à exécuter sont programmés. |
Carénage de l'Etoile du Matin : juillet 2021 Huit jours plus tard l'Etoile retourne au Niel. La grue est tournée à la main comme toujours. |
Carénage de l'Etoile du Matin : juillet 2021 L'Etoile touche l'eau. A la satisfaction de tous, elle ne prend pas une goutte d'eau. |
Carénage de l'Etoile du Matin : juillet 2021 Michel et Patrice se lancent immédiatement dans l'installation du gréement. Le mât, l'antenne, la mestre, tout retrouve sa place. |
Carénage de l'Etoile du Matin : juillet 2021 Le moteur part au quart de tour. Etant de 1876, il se résume à une bonne paire de rames. |
Carénage de l'Etoile du Matin : juillet 2021 L'Etoile du Matin prend sa place à côté du Liberté et du Raïs de Mandrago. Merci à la CCIV et aux pêcheurs qui se sont déplacés pour nous faire de la place. |
Navigations durant l'année 2021 Cette année pas de fêtes ni de rassemblements, les membres de la Partègue naviguent sur les 3 bateaux. |
Navigations durant l'année 2021 Il faut joindre l'utile à l'agréable et puis la voile ça creuse. |
Navigations durant l'année 2021 Plusieurs sorties seront effectuées en fonction de la météo et en fonction de la disponibilité des équipiers. |
Navigations durant l'année 2021 Le Liberté est très vivant comme bateau, il gîte pas mal et répond bien à la barre. Que du plaisir. Thibaut règle la hauteur de la barre. Sur nos bateaux le safran se relève pour éviter de toucher le fond du port. |
Navigations durant l'année 2021 Thibaut est pressé de mettre une ligne à l'eau! Il ne prend même pas le temps de lover les bouts qui trainent sur le pont. Le poisson n'attend pas. |
Navigations durant l'année 2021 Le poste de barre est confortable mais l'ambiance est plutôt bretonne. |
Navigations durant l'année 2021 A l'avant ce n'est pas mieux, Antonio et Patrice se protègent du vent et non pas du soleil. |
Navigations durant l'année 2021 Manu a capelé la veste de quart, il gèle |
Navigations durant l'année 2021 Le Liberté file tranquillement sous voiles, l'équipage s'installe sous le vent pour mieux surveiller la poulacre. |
Navigations durant l'année 2021 Qu'est ce qu'on est bien sur l'eau ! |
Navigations durant l'année 2021 Tony a pu se libérer, il embarque avec ses deux acolytes qui ne sont pas anonymes : Thibaut et Antonio. |
Navigations durant l'année 2021 Manu est aussi de la sortie. |
Navigations durant l'année 2021 Tony savoure le moment. Il en prend plein les yeux et aussi plein les mains ! |
Navigations durant l'année 2021 Parfois, il fait beau surtout en été, Michel est sur le pont du Liberté qui trace sa route toutes voiles dehors. |
Navigations durant l'année 2021 La navigation à la voile latine, c'est dur mais quand on connaît, on peut prendre le temps de manger et boire en discutant tranquillement. Rien à envier aux bateaux plus modernes. |
Navigations durant l'année 2021 Cap sur Porquerolles. |
Navigations durant l'année 2021 Benoit à la barre. |
Navigations durant l'année 2021 Le vent fait son travail et le Liberté apprécie. L'équipage est aux anges. |
On ne s'en lasse pas ! Dans le haut du mât, le spectacle est magnifique. |
Navigations durant l'année 2021 Le Liberté a pris son allure de croisière, les voiles sont bien réglées, Benoit love les bouts, Un bateau à voiles doit toujours être en ordre pour pouvoir agir rapidement. |
Navigations durant l'année 2021 Antonio à la barre. Concentration et efficacité. |
Navigations durant l'année 2021 Michel regarde si la mestre porte bien pendant que Benoit continue de ranger les bouts. Sur le Liberté, il y a beaucoup de bouts : le davant, les deux orses poupes, la drosse, les drisses de poulacre et de mestre les écoutes de poulacre et l'écoute de mestre sans compter les sartis et les bastaques. |
Navigations durant l'année 2021 Quand tout est en ordre, c'est un vrai régal... jusqu'au prochain virement de bord où il faudra agir sur nombre de bouts pour réussir la manoeuvre. |
Navigations durant l'année 2021 Le silence et la beauté de la rade, on en redemande. |
Navigations durant l'année 2021 Naviguer c'est super mais nos bateaux sont des bateaux de pêche. Alors, tous à vos lignes, les poissons ont intérêt à se mettre à l'abri. |
La soupe de poisson du 31 juillet La pêche a été bonne et les pêcheurs professionnels en ont rajouté un tout petit peu pour partager une délicieuse soupe de poisson sur le port du Niel. |
La soupe de poisson du 31 juillet Ca fait du bien après de longs mois sans pouvoir nous rencontrer. |
Navigations à bord de l'Etoile du Matin La navigation sur les autres bateaux a aussi constitué de très bons moments mais il n'y avait pas de photographes à bord. Il faut dire que naviguer sur l'Etoile demande d'être au service du bateau en permanence pour que tout se passe bien. Je vous certifie que le plaisir de naviguer sur cette coquille de noix est immense. |
Navigations à bord du Raïs de Mandrago Le Raïs est aussi sorti à la voile et au moteur entre le Niel et Porquerolles. L'année 2021 nous a permis de naviguer dans la rade d'Hyères et au large du Niel en été. Le seul point noir pour nous comme pour tous ceux qui font de la voile est la multiplication des bateaux sur motorisés et le comportement de leurs capitaines qui oublient qu'ils ne sont pas seuls sur l'eau. Les sillages très dangereux pour nos antennes nous gâchent parfois la sortie et il est maintenant impossible de faire route directe entre le port d'Hyères et celui de Porquerolles car nous sommmes sur une véritable autoroute ou plutôt bateauroute. |
La restauration de la Foi par Antonio Cette année Antonio a poursuivi la restauration de la Foi dans dans un lycée professionnel des Vosges. Le bateau devrait bientôt redescendre en Méditerranée. |
La restauration de la Foi par Antonio Très beau travail de charpente de marine. |
La formation de matelot pour Brigitte Brigitte a profité de cette année pour changer de vie. Elle a passsé son diplôme de matelot, son permis bateau, a suivi l'école du feu et a embarqué pour surveiller la pêche aux thons rouges entre Sète et l'île de Majorque. Elle a ensuite rejoint le TLVsur les bateaux à passagers entre Giens et les Iles d'Or. |
La croisière des Gautier La famille Gautier a pris ses quartiers d'été sur son bateau à voiles bien sûr. Cette année cap à l'ouest. Ils ont rencontré nos cousins comme ils disent là bas avec leurs catalanes. |
La croisière des Gautier Passés en Espagne, la voile latine est toujours présente. Les Baléares sont magnifiques et la croisière de plusieurs mois s'est très bien déroulée. Après un retour à Giens la famille Gautier est repartie vers la Sardaigne.... |
la navigation de Iona Antonio est à juste titre amoureux de Iona, un plan Fife de 1899. Dès qu'il le peut il navigue à bord de cette splendide unité. restaurée par son propriétaire. Iona a malheureusement quitté son mouillage à Porquerolles pour aller à Cavalaire. |
Septembre : un tronc de cèdre à écorcer Benoit, en bon forestier, s'est proposé pour écorcer le tronc de cèdre qui restait au salin après la construction de la pirogue. |
Septembre : un tronc de cèdre à écorcer On ne pouvait se résoudre à envoyer cette bille de bois à la décharge. Il r este à la débiter en planches. |
Septembre : un tronc de cèdre à écorcer Après quelques heures d'efforts, le tronc est totalement écorcé ce qui évite les maladies dues aux insectes qui pullulent dans l'écorce. |
Septembre : un tronc de cèdre à écorcer Le travail s'est effectué dans un décor de rêve. Les tables salantes regorgeaient de sel . |
Septembre : un tronc de cèdre à écorcer Les saulniers ont récolté la fleur de sel qui est d'ailleurs très bonne. Des sachets seront distribués lors de la fête des salins qui va suivre. |
La fête des salins d'Hyères Un week end superbe avec beaucoup d'animations sur le site et beaucoup de monde, 5000 visiteurs en 2 jours. |
La fête des salins d'Hyères Le Saint Antoine, le bateau de Sylvain, nouveau membre de la Partègue a assuré la prestation qui clôturait cet événement festif culturel et patrimonial |
La fête des salins d'Hyères Le port de la Capte est très petit et son entrée n'accueille que des bateaux de faible tirant d'eau. Le bateau de Sylvain, magnifiquement restauré est un Ruoppolo de 1933. Il est labellisé BIP (bateau d'intérêt patrimonial) et passe sa première saison dans les eaux hyéroises. La Partègue devait récupérer les danseurs qui faisaient une déambulation depuis les hangars de la zone de production de sel jusqu'à la mer symbolisant le départ du sel d'Hyères pour Gênes. Le Liberté et le Raïs étaient trop gros et l'Etoile du Matin trop instable pour cette opération. Sylvain et Patrice ont préparé ce départ depuis le quai de la Capte pour que tout se passe le mieux possible. |
La fête des salins d'Hyères Les danseuses et le danseur arrivent à proximité du Saint Antoine. La chorégraphie est bien réglée et l'équipage du bateau s'est positionné pour que les danseurs puissent embarquer tout en dansant. |
La fête des salins d'Hyères Tout le monde est à bord, on règle la voile et le Saint Antoine glisse vers la sortie du port. |
La fête des salins d'Hyères Le départ du Saint Antoine sous voile avec la danseuse qui brandit un sac de sel à bout de bras a été une belle réusssite. |
La fête des salins d'Hyères |
Les journées Européennes du Patrimoine 18 et 19 septembre |
Les journées Européennes du Patrimoine 18 et 19 septembre Cette année l'atelier recevait les visiteurs. Nous avons proposé une exposition retraçant les actions de la Partègue en extérieur, sur le mur et nous avons montré aux visiteurs un bateau en restauration dans l'atelier. Beaucup de gens intéressés ont passé beaucoup de temps à discuter avec les membres de la Partègue. |
Les journées Européennes du Patrimoine 18 et 19 septembre Nous accueillions aussi les gens au port d'Hyères. Depuis le premier septembre nos baetaux sont regroupés dans le même bassin et ça fait une énorme différence. Nous remercions la capitainerie qui a permis ce regroupement et nous leur apportons les maquettes de nos bateaux à exposer dans leur local qui domine les quais et nos bateaux. |
Les journées Européennes du Patrimoine 18 et 19 septembre Une table, les photos des restaurations des bateaux se trouvant à flot juste derrière, un montage permettant de comprendre le calfatage et de s'y essayer. Nous avons accueilli beaucoup de monde qui pour certains ont fait le déplacement jusqu'à l'atelier pour en savoir encore plus. |
Les journées Européennes du Patrimoine 18 et 19 septembre Nous le savions, le fait de regrouper les bateaux a décuplé l'intérêts des visiteurs et des promeneurs. Nous avons été très sollicités ce qui fait que nous n'avons pas fait de photos avec le public venu nombreux. |
Les journées Européennes du Patrimoine 18 et 19 septembre
Les membres de la Partègue s'installent et les deux journées seront bien remplies de 10h à 18,19h. Nous sommes enchantés par la réaction des visiteurs face au patrimoine maritime. Comme nous le disons depuis des années, Hyères est riche d'une culture maritime millénaire, il faut la mettre en valeur et la rendre accessible au public. Pour nous, il faut faire encore plus dans l'intérêt de la commune, de ses habitants et des touristes. |
Le port de Bormes met à l'honneur la Partègue Thibaut nous a ramené ces photos. Curieusement, le port de Bormes met à l'honneur la voile traditionnelle et expose sur le quai les bateaux de la Partègue et ses membres en action sur leurs bateaux. C'est un honneur pour nous et nos bateaux. Peut-être que la ville d'Hyères pourrait faire de même, maintenant que nos bateaux sont regroupés. Il y a de quoi mettre de tels panneaux de ce côté du parking.
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Le port de Bormes met à l'honneur la Partègue Une belle initiative qui sert la voile tradtionnelle et plus précisément la voile latine, spécifique de la Méditerranée. |
Les Vieux Métiers à Giens Jean Pierre et Manu font partie de Giens 1900, une association arbanaise qui présente les métiers d'autrefois dont certains perdurent. |
Les Vieux Métiers à Giens Manu en pleine action.
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Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Un rendez-vous annuel qui rassemble de très beaux bateaux ayant participé aux voiles de Saint Tropez. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre L'accueil des scolaires nous tient à coeur. Nos trois bateaux et le Saint Antoine étaient regroupés dans le même bassin, ce qui a permis de recevoir plusieurs groupes d'enfants en même temps. Ils ont pu voir en quoi consistait la restauration d'un bateau en feuilletant le "book" de la Partègue. Ils ont aussi réalisé le calfatage entre deux planches ce qui leur a permis de comprendre comment on réalise l'étanchéité d'une coque en bois. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Le journal Var Matin a illustré cette visite des scolaires par une photo montrant un groupe d'élèves sur le Raïs de Mandrago. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Nous avons mis ensuite nos bateaux avec les autres au quai d'honneur. Le port d'Hyères est beaucoup plus beau cette semaine là. Il gagnerait d'ailleurs à rendre le quai d'honneur plus atttrayant toute l'année. Le port d'Hyères est le port d'attache de magnifiques bateaux que très peu de personnes connaissent car ils sont dispersés dans le port et même pas signalés. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Sylvain a aussi mis le Saint Antoine au quai d'honneur, à côté des bateaux de la Partègue. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Le spectacle est aussi sur l'eau. Jean Pierre est sorti avec le Liberté pour assister au départ des bateaux. La difficulté est de composer des équipages pour tous les bateaux. Cette année pas mal de membres de l'association n'étaient pas libres et Antonio avait ramené IONA qui nécessite un équipage complet. Le Liberté et Iona dans la rade d'Hyères, un spectacle qu'on voudrait voir plus souvent. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Laurence suit les magnifiques évolutions de France. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre La météo a réservé quelques surprises. Cette lumière orageuse a rendu encore plus beaux ces navires constituant le patrimoine flottant français et étranger car, je le redis le patrrimoine maritime n'a pas de frontière. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Le Saint Antoine craint dégun et étale les surventes. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Antonio à la barre de Iona. que du plaisir. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Antonio assis sur la baume surveille du coin de l'oeil l'équipage. Manu Patrice et Cassandre, une équipière sur France qui est venue naviguer avec nous. Thibaut prend les photos. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Iona au portant, file devant le grain qui arrive. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre Iona navigue toujours très gîté. Concentration au moment de dépasser le minuscule dinguy. |
Les voiles de tradition du 3 au 10 octobre La fête se termine. Il faut ramener Iona à Cavalaire. Denis est venu avec nous. La météo nous réservera quelques surprises mais tout se passera très bien et tout le monde a pris énormément de plaisir à naviguer sur ce bateau mythique. |
L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre La météo nous offre une spectaculaire trombe marine |
L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre L'arrivée du Charles Ashley se fait par la route avec un convoi exceptionnel.
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L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre Il faut dire que le navire est imposant : 24 tonnes pour ce canot de sauvetage de 1949. Une histoire passionnante: ce navire ne doit pas mourir. il est labellisé BIP et Carl, le propriétaire actuel a déjà accompli des prouesses pour le sortir de la vase de la Seine dans laquelle il a séjourné durant plusieurs mois après avoir sombré. |
L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre Le Charles Ashley était amarré sur la Seine. Fin octobre il a largué les amarres pour rejoindre Rouen par ses propres moyens au fil de l'eau. A Rouen il a été mis sur remorque et a pris la route pour arriver au port d'Hyères,comme prévu, le 29 octobre à 14h.
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L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre Le Charles Ashley sur l'aire de carénage. Il y a du travail à faire et le patrimoine flottant a besoin de la mobilisation de tous pour exister. La Partègue prévenue est sur site et scrute la coque entre deux averses. |
L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre C'est un bateau de travail magnifique. Tout a été pensé pour des navigations dans des mers difficiles: Il a travaiilé sur les côtes du Pays de Galles, a sauvé de nombreuses vies et a connu, avec son équipage, des journées très difficiles comme les connaissent les sauveteurs en mer. |
L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre Carl, heureux d'être à Hyères avec ce canot de sauvetage. C'est le roi du monde... Reste à restaurer le navire que déjà de très nombreuses personnes viennent voir car il en impose le Charles Ashley ! |
L'arrivée à Hyères du Charles Ashley le 29 octobre La Partègue a pour objectif la sauvegarde et la valorisation du patrimoine maritime de la presqu'île en l'incluant dans le patrimoine maritime méditerranéen et mondial. C'est pour cela que la Partègue collabore avec le parc national de San Fransisco et qu'elle a travaillé pour sauver la Tartane de Saint Tropez lorsque son avenir était incertain et son état critique. Antonio a restauré un magnifique Gozzo italien le San Pietro mis à l'eau et baptisé au Niel. La Partègue participe à la restauration du Charles Ashley parce que ce bateau doit vivre. Quelle chance pour le port d'Hyères qui abrite une station SNSM. Présenter deux bateaux de sauvetage, un de 1949 et un de dernière génération c'est retracer une partie de l'histoire des sauveteurs en mer qui interviennent sur toutes les mers du globe. Le port Saint Pierre a tout pour être un très intéressant port maritime et non pas un simple parking à bateaux. Je le répète le patrimoine appartient à tout le monde et il doit se transmettre d'une génération à une autre. Pour les bateaux, la mobilisation des gestionaires de ports est indispensable. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre La mise en place du chantier a nécessité l'utilisation d'un camion. Ca tombe bien Carl possède un camion tout aussi patrimonial que le bateau. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Première chose à faire poncer, poncer et poncer pour voir l'état de la coque et du pont. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Marc, habitué à poncer les tôles de ses voitures de collection s'attaque à l'embase métallique qui tient le safran. Gros boulot dans une position pas très confortable. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre La vue générale du pont laisse présager un certain travail pour ne pas dire un travail certain. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Michel ponce les trappes... et continuera sur l'ensemble du pont avec les autres. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Une vue aérienne prise par notre photographe, Jean Claude, montre l'avancée du travail. Une grande partie de la coque a été poncée au bois pour pouvoir entreprendre les réparations. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre La coque est bien en acajou. Carl est allé jusqu'à Fréjus pour trouver deux beaux plateaux d'acajou qu 'Antonio est en train de déligner. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre La sortie de l'échappement a causé des dégâts conséquents exigeant le remplacement d'une belle portion de coque. La coque est constituée de deux plis montés à franc bord. Une toile de coton imprégnée de blanc d'Espagne est insérée entre les deux plis et procure l'humidité assurant l'étanchéité de la coque. Une très belle construction toute rivetée cuivre. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Impossible de refaire la coque dans son ensemble. Nous réparons en utilisant des méthodes modernes qui vont éviter que la coque d'origine restante ne se détériore tout en permettant de conserver ce canot naviguant. Un autre impératif : le bateau doit être mis à l'eau en février ! |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Une telle restauration aurait nécessité un atelier couvert. Le travail à l'abri du vent, du soleil et de la pluie est important pour des bateaux dont le bois réagit à tous ces éléments. D'autre part, une restauration dans un atelier permet de recevoir des visiteurs en nombre . Chaque jour, des personnes curieuses ou issues du monde maritime (pêcheurs, plongeurs, charpentier de marine...) viennent nous rendre visite sur la zone de carénage non accessible au public.. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Une table comme établi, ce n'est pas idéal mais depuis 28 ans nous avons l'habitude de travailler avec le minimum pour faire le maximum. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre La pièce qui se glissera entre les deux membrures et qui devra s'adapter à la colerette d'échappement qui débouchera sur la coque. Travail délicat et d'une grande précision. Antonio travaille en 3D. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Quelques jours plus tard, toutes les pièces trouvent leur place. On voit les deux membrures et la coque reconstituées. La pièce précédente se loge entre les membrures et vient en appui sur la colerette du tube d'échappement. Pourquoi faire simple ? |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Les deux plis croisés d'acajou sont mis en place, la coque a retrouvé sa forme et sa solidité. C'est là que sortira l'échappement. Il y avait un gros trou, Antonio a bouché ce trou et il devra en refaire un ! |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Des trappes du pont étaient en très nmauvais état, c'est du passé. |
Restauration du Charles Ashley du 29/10 au 3 décembre Le hublot du toit du poste de pilotage fuyait abondemment Michel a refait l'étanchéité et l'a réinstallé avec Patrice par un fort mistral glacial. Michel, sur le toit, a été patient, le temps de serrer les 28 boulons qui tiennent le hublot. |